« Qui voit Ouessant voit son sang, qui voit Molène voit sa peine ». C’est en mijotant ce vieux proverbe breton que Florestan abat les derniers milles qui le séparent de la sortie de la Manche, et arrive en vue de ces deux îles mythiques. Que ce soient les brumes épaisses de la Côte d’Opale ou les écueils des îles anglo-normandes, les obstacles furent nombreux pour le petit voilier depuis son départ de Nieuport…. Lire la Suite